Reflections on Cambodia, Buddhism and Music

Thursday, September 15, 2005

Parler français au Cambodge

Même s'il nest pas tellement nécessaire, je vais ecrire en français ce fois-ci. Sur l'autobus de Siem Reap à Phnom Penh, j'ai fait de la conaissance de deux parisiens qui étaient en train de visiter le Cambodge. Nous avons parlé de ce pays et sa culture en particulière. Ils m'ont dit qu'ils voudraient voir la musique khmère à Phnom Penh, alors j'ai demandé à Ratanak s'il serait possible. Elle m'a dit que cela serait bien possible, et j'ai dit à mes amis français que j'enverrais un email bientôt concernant le temps et l'endroit.

Nous avons nous rencontrés au leur hôtel à 7h40 au matin. Avec Mlle. Ratanak, nous sommes allés au commaunté Tonle Bassac, le quartier où la plupart des musiciens habitent. La première classe à laquelle nous avons rendre visite était celle du maître Tep Mari, une musicienne et professeur de pin peat (la musique de la court de roi du Cambodge et aussi celle qui accompagnie la danse classique aspara). De suit, nous sommes allés chez maître Kong Nai afin de écouter à sa classe de chanson et de l'instrument des bavardes khmers, le chapei dong veng.

Pour moi, c'était la première fois que j'ai dû employer le français pour communiquer dans une situation en dehors de l'école et ma classe de français au lycée. Mes deux amis français étaient très patients avec mes efforts à parler leur langue, mais quand même j'ai réalisé les bienfaits réelles à apprendre des langues étrangères. Avec la classe de Kong Nai, j'ai trouvé que je pouvais suivre les paroles entre les étudiants et que je pouvais, finalement, parler le khmer avec eux sans arrêter, même si ma vocabulaire n'était pas encore très riche. Tout ça m'a rendu bien heureux et content!

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